Par la grâce de D.ieu,
19 Iyar 5728,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre(1) et votre demande de bénédiction(2). En un moment propice, celle-ci sera lue près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Vous respectez sûrement l’usage positif de femmes d’Israël vertueuses qui consiste à prélever de la Tsédaka(3) avant l’allumage des bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Tout au moins l’adopterez-vous à l’avenir, sans en faire le vœu. Avec ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles,
M. Schneerson,
N. B. : A n’en pas douter, vous participez sûrement aux activités des femmes ‘Habad de Jérusalem, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie. Que D.ieu vous accorde la réussite.
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Voir le Likouteï Si’hot, tome 16, à la page 577.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°9487.