Par la grâce de D.ieu,
1er Mar’hechvan 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait de constater votre présence, lors de Sim’hat Beth Hachoéva(1). Mais, j’ai l’habitude de vous voir également, à l’issue de Sim’hat Torah, ce qui n’a pas été le cas, cette fois-ci, bien que la réunion ‘hassidique se soit prolongée durant plusieurs heures après que les autres personnes aient déjà récité la Havdala.
On sait que la spiritualité n’est pas soumise aux limites de l’espace. On peut, parfois, ne pas sentir qu’il en est ainsi. Néanmoins, on en subit l’influence et j’espère que les pensées positives que j’ai eues, vous concernant, sont parvenues jusqu'à vous.
Même si vous ne l’avez pas ressenti, vous l’avez reçu profondément et, le moment venu, ceci se révélera.
Mon beau-père, le Rabbi avait coutume de dire(2) que les ‘Hassidim sont intelligents. Ils ne remettent donc pas à plus tard ce qu’ils peuvent faire maintenant. Puisse D.ieu faire qu’il en soit ainsi pour vous, au plus vite, dans des circonstances positives et joyeuses.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Les réjouissances de ‘Hol Hamoed Soukkot.
(2) Voir, à ce propos, les lettres n°1681, 1993 et 2057*.