Par la grâce de D.ieu,
6 Chevat 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de l’issue du Chabbat Vaéra, avec la demande de bénédiction qu’elle contenait. Comme vous me le demandez, j’en donnerai lecture, sans en faire le vœu, en un moment propice, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Vous me dites que vous éprouvez des difficultés à étudier le ‘Hovat Halevavot. Comme vous vous en rappelez sûrement, je vous ai précisé(1) que je ne faisais pas allusion au Chaar Hay’houd, mais bien aux parties suivantes. Si celles-ci sont également difficiles pour vous, vous étudierez le Pokéa’h Ivrim(2) et les discours ‘hassidiques de mon beau-père, le Rabbi, prononcés le 12 Tamouz et le 19 Kislev, pendant les différentes années, en fonction de ce que vous souhaitez.
D.ieu vous viendra en aide et vous sauvera de ceux qui vous accusent. Vous connaîtrez l’élévation et il apparaîtra à l’évidence que vous êtes l’une des pousses de mon beau-père, le Rabbi, de la Yechiva Loubavitch, dont vous avez eu le mérite d’être un élève pendant plusieurs années.
Avec ma bénédiction de réussite matérielle et spirituelle et de bonne santé pour tous les membres de votre famille,
Notes
(1) Quand le Rabbi demanda au destinataire de cette lettre qu’il étudie le ‘Hovat Halevavot.
(2) De l’Admour Haémtsahi, rédigé pour quelqu’un qui s’était repenti de ses fautes.