Par la grâce de D.ieu,
23 Tamouz 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Nos Sages enseignent, au traité Be’horot 45a, que les femmes possèdent deux cent cinquante deux membres(1).
C’est la raison pour laquelle on a coutume d’écrire(2) : “ pour tous ses membres(3) et pour ses trois cent soixante cinq nerfs(4) ”.
Néanmoins, pour celui qui n’y prête pas garde, on en fera de même et l’essentiel est que la paix soit maintenue(5).
Notes
(1) Alors que les hommes en ont deux cent quarante huit.
(2) Lorsque l’on demande, par exemple, une bénédiction pour leur guérison.
(3) Sans en préciser le nombre, comme on le fait pour un homme.
(4) Soit le même nombre que ceux d’un homme.
(5) Il ne convient pas d’instaurer la controverse uniquement pour imposer cette formule.