Par la grâce de D.ieu,
7 Mena’hem Av 5713,
Brooklyn,
Vous m’écrivez que vous avez perdu un bain(1). Vous ne devriez pas parler de perte, mais, bien au contraire, de gain(2).
Il me semble vous avoir cité, dans ma lettre, l’affirmation de nos Sages selon laquelle on ne se plaint pas, pendant le Chabbat. Or, malgré cela, ou précisément à cause de cela, “ la guérison est proche ”.
Bien plus, une telle guérison est infiniment plus grande que celle qui aurait pu être obtenue par un bain. C’est une évidence.
Notes
(1) Devant être pris dans un but médical. Voir la lettre n°2134.
(2) Puisqu’il était nécessaire de le prendre pendant le Chabbat, ce qui aurait été une transgression de ce jour.