Par la grâce de D.ieu,
25 Adar Cheni 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat Chemini. Vous parlez de votre mémoire et, en la matière, il est inutile de s’entêter, c’est-à-dire de lui imposer une intense activité. Il faut, bien au contraire, la soulager.
Vous devez étudier des textes qui vous attirent, de sorte que le plaisir vienne relayer la mémoire qui, au final, se raffermira, d’autant que cette situation est sûrement d’origine nerveuse.
Il est sans doute inutile de vous rappeler la nécessité, expliquée par différents textes, de préserver sa santé physique et donc de se conformer aux prescriptions du médecin.
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
N. B. : J’aimerais savoir de quelle manière se sont passés ces jours de Pourim.