Par la grâce de D.ieu,
25 Iyar 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 9 Iyar, de même que votre télégramme. Vous avez sûrement reçu le mien, qui vous donnait ma réponse, vous souhaitant une prompte guérison et attendant de vos bonnes nouvelles.
J’ai lu avec effroi, dans votre lettre, que vous attribuez ce qui vous arrive à une rancune de ma part, ce qu’à D.ieu ne plaise. Il n’est pas de mon fait d’éprouver de la rancune et D.ieu fasse que l’on m’attribue également tous les événements positifs, matériels et spirituels, qui se produisent.
Que D.ieu accorde que vous soyez parmi ceux qui adoptent une telle attitude.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, en tous ces domaines et avec ma bénédiction pour que vous receviez la Torah de manière joyeuse et profonde.