Par la grâce de D.ieu,
26 Mena’hem Av 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre dans laquelle vous me décrivez vos études. Vous concluez en disant que des pensées étrangères vous empêchent de vous concentrer, dans votre prière.
Il a déjà été dit, à ce sujet, qu’il faut s’efforcer de respecter la sainteté de l’alliance de la circoncision, de même que celle de la langue(1). C’est ainsi que l’on réduit les mauvaises pensées. De même, il faut qu’il y ait un livre(2) ou un Sidour ouvert devant vous, de sorte que les mots lumineux chassent les pensées indésirables.
Le Likouteï Torah explique, à la fin de la Parchat Kedochim, que l’on doit graver en son esprit des mots de la Torah, en général et de son enseignement profond, en particulier. Ainsi, peu à peu, les pensées qui vont en sens contraire diminuent.
D.ieu fasse que vous puissiez m’annoncer de bonnes nouvelles en tous ces domaines.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) En rejetant la médisance et les propos interdits.
(2) Dans le cas de l’étude.