Par la grâce de D.ieu,
12 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Quand on a des difficultés à gagner sa vie, nos Sages disent qu’il est bon de donner largement de la Tsédaka. Si l’on ne peut pas augmenter la somme, on la répartira, au moins, afin d’en donner plus souvent. Il est bon de le faire, en particulier, pendant les jours de semaine, avant la prière du matin et avant celle de Min’ha. On donnera alors quelques cents à la Tsédaka.
Il est judicieux que vous changiez de quartier, puisque les Juifs l’ont quitté. Cela est d’autant plus important pour vos enfants. Que D.ieu vous vienne en aide, afin que cela soit plus facile que vous l’imaginez.
Je vous joins un chèque émanant d’une des caisses de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Vous l’investirez en ce qui vous permettra de gagner votre vie et vous recevrez ainsi une réussite accrue, dans l’obtention de votre subsistance matérielle, en général.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour un joyeux Pourim,