Par la grâce de D.ieu,
29 Tichri 5718,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre avec plaisir. Vous me décrivez brièvement ce que vous devenez et vos actions, dans le domaine de la sainteté, depuis que vous étiez ici. Je suis surpris que vous ne me disiez pas comment vous avez assumé vos fonctions d’officiant. J’ai bon espoir que cela s’est très bien passé et, à n’en pas douter, le Saint béni soit-Il a tenu Sa promesse, comme le dit le premier chapitre d’Iguéret Ha Techouva, de sorte que votre prière a été exaucée, au sein de tout Israël, afin d’obtenir une bonne et douce année, matériellement et spirituellement.
Vous me dites que vous n’avez pas d’argent. Je suis surpris que vous puissiez écrire cela. En effet, D.ieu dit que : “ l’argent est à Moi, l’or est à Moi ”. Il est donc certain que vous ne manquerez pas d’argent, pour vous même et pour les membres de votre famille, dans vos réalisations communautaires comme dans vos préoccupations personnelles. On peut en trouver la preuve dans le dicton de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel “ le passé délivre un enseignement pour le futur ”.
De par le passé, vous avez pu observer les bienfaits de D.ieu et, à n’en pas douter, s’accomplira la promesse selon laquelle : “ quand on prodigue le bien à quelqu’un, on le fait pour de longs jours et de bonnes années ”. Pour votre part, vous vous raffermirez et vous renforcerez les canaux, qui sont ouverts. Bien plus, vous les agrandirez et les élargirez. Bien entendu, je fais allusion à la Torah et aux Mitsvot.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et en saluant tous vos élèves,