Par la grâce de D.ieu,
Premier jour de Roch ‘Hodech Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Bien que vous n’en parliez pas, j’ai bon espoir que vous avez connaissance de ce qui est rapporté oralement ou même de ce qui est imprimé, à propos de la générosité dont un Juif doit faire preuve envers son prochain. Quand on entend des propos d’encouragement, de ‘Hassidout, on ne doit pas les cacher car, d’ordinaire, ceux-ci restent alors sans effet, y compris sur sa propre personne. Il est une nécessité de transmettre aux autres.
C’est donc de cette façon que ces propos ont un effet accru, y compris sur soi-même, comme on peut le vérifier concrètement et comme l’enseignent nos Sages, qui disent : “ j’ai appris de mes élèves plus que de tous les autres ”.