Par la grâce de D.ieu,
22 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’interrogez sur le prélèvement de la dîme pour la Tsédaka, lorsque l’on a des difficultés à gagner sa vie. Vous procèderez donc de la manière suivante. Vous donnerez aussitôt la moitié à la Tsédaka et vous considérerez la seconde moitié comme une dette contractée envers la Tsédaka. Puis, quand D.ieu vous accordera la largesse, vous vous acquitterez de cette dette.