Lettre n° 6432

Par la grâce de D.ieu,
3 Mena’hem Av 5718,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

J’ai bien reçu votre lettre du 26 Tamouz et, en un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite vous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins et que soient exaucés les souhaits de votre cœur, dans tous les domaines que vous mentionnez. Vous évoquez les pensées qui vous empêchent de vous concentrer sur votre étude. L’un des moyens de remédier à cela est l’étude dans le texte. Même quand vous réfléchissez et vous bâtissez un raisonnement, vous aurez un livre ou un fascicule posé devant vous. Et, il en sera de même pour la prière.

Vous me dites aussi que vous pensez à un métier. Or, vous connaissez la formulation de la bénédiction après le repas, qui est instaurée par la Torah : “ Il nourrit le monde entier par Sa bonté, Sa grâce, Son bienfait, Sa miséricorde ”. Aussi, en redoublant d’ardeur et de constance dans l’étude de la Torah et dans la pratique des Mitsvot de la meilleure façon, on reçoit les bénédictions de D.ieu, en la matière, y compris pour pouvoir s’installer d’une manière positive, le moment venu. Et, le verset dit clairement : “ Si vous marchez dans Mes décrets ” et Rachi, se basant sur le Sifra, explique : “ en faisant porter vos efforts sur la Torah ”, un effort étant donc nécessaire en la matière, “ et si vous gardez Mes Mitsvot, Je vous donnerai ” toutes les bénédictions énoncées dans cette Paracha.

Vous avez sûrement connaissance des trois études fixées, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Tout au moins, les adopterez-vous à l’avenir. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,