Lettre n° 6496

Par la grâce de D.ieu,
25 Elloul 5718,
Brooklyn, New York,

Je vous salue et vous bénis,

Il y a quelques semaines, vous m’aviez écrit(1) à propos de la séparation(2) que vous n’aviez pas pu réaliser parce que ceux qui s’y opposaient l’ont emporté. Pour autant, avez-vous ajouté, on peut espérer une amélioration, une évolution de la situation. J’espère qu’avec la nouvelle année scolaire, cette évolution positive sera chose faite. En tout état de cause, j’ai bon espoir que vous poursuivez vos efforts, avec l’empressement qui convient. Bien plus, vous connaissez les arguments avancés par le camp adverse. Vous avez donc fait et vous faites encore tout ce qui est nécessaire pour que ceux-ci soient écartés d’emblée. Votre lettre semble indiquer que l’on mette tout d’abord en avant le coût qui en résultera. Or, si l’on établit un programme afin de réduire les dépenses, chaque fois que cela est possible, on supprime cet argument.

Il est sûrement inutile de vous rappeler que, si un salut intégral(3) n’est pas possible, celui-ci peut au moins être partiel, concerner au moins pour les grandes classes. Le mérite de ce qui est public, en l’occurrence de ces élèves, vous viendra en aide pour qu’au final, le salut soit effectivement intégral. A l’occasion de la nouvelle année, qui vient pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, je vous adresse, de même qu’à tous ceux qui vous suivent, mes vœux pour une bonne et douce année, matériellement et spirituellement à la fois. Avec mes respects et ma bénédiction,

Notes

(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°6177.
(2) Entre les garçons et les filles, à l’école.
(3) Pour toute l’école.