Par la grâce de D.ieu,
7 Mena’hem Av 5710,
Au Rav, distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu, ...
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre du 4 Mena’hem Av, avec la demande de bénédiction qui y était jointe. Entre temps, vous avez sans doute reçu ma lettre de la veille de Roch ‘Hodech Mena’hem Av.
Pour ce qui concerne la situation de votre fils, j’ai du mal à comprendre les ‘Hassidim qui adoptent systématiquement l’interprétation la plus sévère des événements qui leur arrivent, bien qu’ils connaissent le dicton de mon beau-père, énoncé au nom de plusieurs maîtres de ‘Habad: "Lorsque l’on pense que cela va bien, cela va effectivement bien". Vous consulterez, à ce propos, le traité Horayot 12a. Ne doit-il pas en être ainsi?
Je viens de lire cette demande de bénédiction dans le bureau de mon beau-père, le Rabbi. Il vous accordera donc sûrement ses bénédictions, qui s’accompliront pleinement.
Je conclus en vous bénissant et en attendant de vos bonnes nouvelles,
M. Schneerson,