Par la grâce de D.ieu,
14 Iyar 5719,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Le Rav Hecht, auquel D.ieu accordera longue vie, m’a dit que vous vous interrogiez sur le Talith dont on s’est servi pour votre mari(1), puisse-t-il reposer en paix. Vous n’êtes pas certaine que celui-ci lui ait appartenu(2).
Si vous savez à qui il a appartenu, vous pouvez en donner la contre-valeur à cette personne. S’il n’y a là qu’une présomption, vous pouvez, en mesure de précaution, consacrer cette contre-valeur au soutien d’une synagogue où l’on prie chaque jour, ou bien lui offrir un Talith, de sorte que celui-ci soit utilisé par l’officiant ou bien par l’un de ceux qui prient dans cet endroit.
Notes
(1) Pour son enterrement.
(2) Cette femme se demandait donc s’il n’avait pas été une faute d’enterrer son mari avec un Talith ne lui ayant pas appartenu.