Par la grâce de D.ieu,
23 Tamouz 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 18 du mois de la délivrance(1), dans laquelle vous me décrivez brièvement les réunions ‘hassidiques de la fête de la libération des 12 et 13 Tamouz. Puis, vous concluez en m’annonçant une bonne nouvelle.
Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez encore d’autres bonnes nouvelles, de vos réalisations communautaires et de vos accomplissements personnels, en particulier dans le domaine central, la nécessité, pour chacun, de se consacrer à la diffusion des sources(2) à l’extérieur. Cette diffusion, en général, et surtout en cette période(3), est d’actualité et propice. En effet, “ c’est du fait de nos fautes que nous avons été exilés de notre terre ”(4). Pour réparer cette situation, il faut donc regretter ce qui s’est passé et tout révéler de nouveau, depuis la source première. De fait, l’étude de la Torah permet d’obtenir un tel dévoilement, d’en obtenir la lumière, de même que le luminaire qui, à notre époque, a été révélé par la ‘Hassidout. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
Notes
(1) Du précédent Rabbi, celui de Tamouz.
(2) De la ‘Hassidout.
(3) Entre le 17 Tamouz et le 9 Av.
(4) Précisément en cette période.