[4 Chevat 5720]
Après une longue interruption, j’ai reçu votre lettre de la veille de Roch ‘Hodech Chevat, dans laquelle vous n’expliquez pas pour quelle raison vous avez cessé de m’écrire et, ce qui est encore plus douloureux, pourquoi vous avez interrompu votre participation aux actions menées et, en particulier, à votre collaboration aux accomplissements de l’association ‘Habad et des jeunes de l’association ‘Habad. Bien plus, il semble que tout ceci ait été interrompu soudainement, puisque ma première lettre expliquant tout cela est restée sans réponse consistante et n’a obtenu qu’un accusé de réception.
Je ne sais pas si l’on peut ici formuler un souhait, en la matière, mais, en différents domaines, nos Sages emploient l’expression : “ cent fois s’il le faut ”. Or, je ne suis pas encore parvenu à la quatre vingt dix neuvième. Je réitère donc ce que je disais. Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, un changement significatif intervienne, d’une manière sans cesse accrue. Votre lettre a été écrite à la veille de Roch ‘Hodech Chevat. Or, le 10 de ce mois est la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, chef de notre génération. Puisse D.ieu faire qu’il en découle un résultat concret, très prochainement. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,