Par la grâce de D.ieu,
12 Iyar 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre du 6 Iyar et il me semble vous avoir déjà écrit que ce long silence, entre vos courriers, est surprenant. Sans doute rectifierez-vous tout cela à l’avenir.
J’y ai lu, avec plaisir, la brève description des actions que vous avez menées pendant ces dernières semaines, ces derniers mois. Puisse D.ieu faire que leur effet, la motivation qui en résulte, les paroles, les actes se manifestent tout au long de l’année, d’une manière sans cesse accrue, en avançant, en ajoutant et en éclairant. Bien entendu, il est particulièrement utile que ces actions soient organisées, prévues à l’avance, en fonction d’un programme détaillé, comme nous l’avons maintes fois entendu de mon beau-père, le Rabbi.