Lettre n° 7366

Par la grâce de D.ieu,
19 Tamouz 5720,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Vous évoquez(1) la lecture des quatre premiers Psaumes(2). C’est ce que disent, en particulier, l’abrégé du Choul’han Arou’h, au chapitre 151, basé sur le Yessod Yossef et le Ketsé Ha Maté sur le Maté Ephraïm, à la fin du chapitre 583. Néanmoins, nous ne lisons pas de Tehilim pendant la première moitié de la nuit(3), à l’exception de Roch Hachana et de Yom Kippour. Pour ce qui nous concerne(4), il faut donc encore s’interroger sur tout cela(5), mais on ne le fera pas ici.

Notes

(1) La question posée portait sur la manière de se préserver de l’émission séminale en pure perte.
(2) Après la lecture du Chema Israël du coucher.
(3) C’est-à-dire à l’heure où l’on va se coucher, d’ordinaire.
(4) Pour ce qui est de la coutume ‘Habad.
(5) Sur la nécessité de lire ces quatre Psaumes.