Lettre n° 8156

Par la grâce de D.ieu,
15 Tamouz 5718,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 10 de ce mois de la délivrance et de la joie, avec votre demande de bénédiction qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de celui dont nous célébrons la joie, mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Je me suis largement réjoui du début de votre lettre : “ c’est avec joie que j’annonce… ”. D.ieu fasse que, grâce à cette entrée en matière, tout ce qui vous concerne soit désormais joyeux, d’un bien visible et tangible, dans les domaines spirituels et matériels à la fois, les uns dépendant des autres, mais aussi dans les réalisations communautaires et personnelles à la fois, les uns dépendant des autres encore une fois.

Il nous a été enjoint de connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté. Tout ceci se réalisera donc d’une manière sans cesse accrue, aussi bien pour les actions des hommes que pour les bénédictions célestes, y compris, bien sûr, pour ce qui concerne le corps et l’état de santé. En effet, c’est précisément à propos du corps qu’il est dit : “ Tu nous as choisis d’entre toutes les nations et les langues ”, comme l’explique le Tanya, au chapitre 49. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,

S’agissant du traitement de votre fils, auquel D.ieu accordera de longs jours et de bonnes années, vous vous conformerez à la prescription d’un médecin spécialiste et vous connaîtrez le succès, physique et moral.