Par la grâce de D.ieu,
26 Adar Richon 5722,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Adar Richon(1), dans laquelle vous me décrivez votre état, concernant la parole(2). Très souvent, une telle situation est liée à un événement qui a provoqué un état nerveux, une tension. Non seulement vous mettrez en pratique les instructions des médecins que vous consulterez, mais, en outre, vous renforcerez votre confiance en D.ieu, Qui accorde Sa Providence à chacun et à chacune. Il est dit, en effet, que : “ L’Eternel est avec moi. Je n’ai pas peur ”. Lorsque la crainte disparaît, le bégaiement se réduit aussitôt(3). Une autre solution est la suivante. Lorsque vous bégayez en prononçant un mot, ne vous entêtez pas à le prononcer envers et contre tout. Remplacez-le par un autre mot, si possible après avoir laissé s’écouler quelques secondes, afin que la tension baisse.
Mais, avant tout, ce qui vient d’être dit dépend de la bénédiction de D.ieu, Créateur de l’homme et Qui le dirige. En conséquence, votre comportement quotidien sera conforme aux enseignements de notre Torah, Torah de vie, à la pratique de ses Mitsvot. Car, c’est également là le canal et le réceptacle permettant de recevoir la bénédiction de D.ieu en tous vos besoins. Bien plus, chacune des filles d’Israël est une descendante de Sarah, de Rivka, de Ra’hel et de Léa. Avec ma bénédiction afin que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) En l’occurrence un problème de bégaiement.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°7173.