Par la grâce de D.ieu,
veille de la fête de Pessa’h 5722,
Brooklyn, New York,
Au Juste, le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
issu d’une illustre famille, d’une grande lignée,
le Rav Morde’haï Chlomo(1) Chlita,
président de l’association des maîtres de la ‘Hassidout,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre télégramme. Je vous remercie beaucoup pour vos vœux et vos bénédictions, à l’occasion de mon anniversaire(2). Quiconque bénit est lui-même béni, ainsi qu’il est dit : “ Je bénirai ceux qui te béniront ”, avec l’intérêt de D.ieu, qui surpasse le capital. Vous consulterez également le discours ‘hassidique intitulé : “ Rabbi Yochoua Ben Lévi ”, au début du Séfer Ha Maamarim 5629(3) du Rabbi Maharach.
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous exprime, par la présente, ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, pour une liberté véritable, liberté des tracas matériels et des tracas moraux, de tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu, dans la joie et l’enthousiasme. Cette liberté et cette joie se prolongeront sur tous les jours de l’année. Bien plus, le service de D.ieu, comme l’ordonne notre Torah, Torah de vie, concerne tous les domaines de l’homme, tout au long de la journée et de la nuit, ainsi qu’il est dit : “ en toutes tes voies, reconnais-Le ”. Avec mes respects, ma considération et ma bénédiction à l’occasion de la fête,
Notes
(1) Le Rav M. C. Friedman, Rabbi de Bouyan.
(2) Le 11 Nissan.
(3) 1869.