Lettre n° 897

Par la grâce de D.ieu,
22 Chevat 5711,
Brooklyn,

Je vous salue et vous définis,

J’ai appris avec plaisir le mariage de votre fille avec le Rav ... Je voudrais vous exprimer mes bénédictions de Mazal Tov, Mazal Tov, que cette union soit en un moment bon et fructueux, qu’ils bâtissent un foyer basé sur la Torah et les Mitsvot, comme les présente la ‘Hassidout.

Je vous remercie également de m’avoir transmis une bonne nouvelle, la célébration des trois ans de votre petit fils. Vous trouverez ci-joint un extrait d’une lettre de mon beau-père, le Rabbi, traitant de la coutume juive de couper, à cet âge, les cheveux de l’enfant.

Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez toujours de bonnes nouvelles, de vous même, des membres de votre famille et de vos accomplissements, en général.

Avec ma bénédiction de Mazal Tov et pour connaître la réussite dans tout ce que vous entreprenez,

Mena’hem Schneerson,

Le Peri Ets ‘Haïm compare les cheveux aux Tsitsit, de même que le Likouteï Torah, à la Parchat Chela’h, page 47a. Vous consulterez aussi le commentaire de Rachi sur le verset Chela’h 15, 38 : “ Par les Tsitsit de ma tête ”.

Le verset établit également un rapport entre les Tsitsit et le mariage célébré dans la sainteté et la pureté. Il dit, en effet, “ vous le verrez... et vous ne vous détournerez pas... ”. Vous consulterez aussi le traité Mena’hot 44a : “ Avec ses quatre Tsitsit... sa transaction est acquise ”.