Lettre n° 910

Par la grâce de D.ieu,
5 Adar Richon 5711,
Brooklyn,

Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Aryé Zeev(1),

Je vous salue et vous bénis,

J’ai lu la demande de bénédiction qui était exprimée dans votre précédente lettre, au jour de la Hilloula, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Il a suscité une grande miséricorde pour ceux qui sont attachés à lui et pour les ‘Hassidim, afin que ceux-ci obtiennent la satisfaction de tous leurs besoins. Il continuera assurément à le faire.

Il a lui-même écrit, à propos de son père, le Rabbi Rachab : “ tenez vous tous prêts ”, comme je le rappelais dans la lettre de la Hilloula(2). Vous consulterez, à ce propos l’explication du Baal Chem Tov sur l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ l’homme est jugé en conscience et sans sa conscience ”. Celle-ci est développée à la fin du second chapitre, dans le premier discours intitulé “ Je suis à mon Bien Aimé ”, qui figure dans le Séfer Hamaamarim. Et le côté du bien est beaucoup plus puissant.

Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,

Notes

(1) Le Rav A. Z. Lipsker. Voir, à son propos, la lettre n°973.
(2) La lettre n°884.