Par la grâce de D.ieu,
25 Mena’hem Av 5726,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, issu
d’une illustre famille, le Rav Chnéor Zalman(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 23 Mena’hem Av et je vous remercie d’avoir pris la peine de m’annoncer cette bonne nouvelle, la parution du second tome de votre livre Chémen La Maor(2).
Pour passer d’un sujet à un autre tout en restant dans le même contexte, j’ai bon espoir que vous ne vous contentez pas d’un temps fixé, chaque jour, pour votre étude personnelle de la ‘Hassidout. Vous en diffusez également les sources(2) dans votre entourage, de sorte que celles-ci parviennent à l’extérieur et y soient répandues. A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’expliquer l’importance et la nécessité de tout cela. Et, l’assurance nous a été donnée que les paroles émanant du cœur pénètrent dans le cœur de celui qui les écoute(4), y font leur effet. Avec mes respects et ma bénédiction afin de me donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav C. Z. Barbash, petit-fils du Rabbi de Babroysk et auteur du Chémen La Maor.
(2) “L’huile pour le luminaire”.
(3) De la ‘Hassidout.
(4) Voir le Séfer Ha Yachar, de Rabbénou Tam, au chapitre 13, cité par le Chneï Lou’hot Ha Berit, à la page 69a.