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Vous me demandez(1) si l’on peut interrompre sa prière pour y intercaler, par exemple, le mot : “ Père ”(2). Vous consulterez, à ce sujet, le Nimoukeï Ora’h ‘Haïm du Juste, le Rabbi de Munkatch, au chapitre 101. Il est bien clair qu’il n’est pas donné à tous de s’octroyer le droit de le faire(3).

Notes

(1) Voir le Likouteï Si’hot, tome 34, à la page 261.
(2) Se rapportant à D.ieu, bien que celui-ci ne figure pas dans le texte de la prière.
(3) Seul celui qui est certain de sa ferveur, pendant la prière, peut s’autoriser un tel ajout. Voir, à ce sujet, la lettre n°1769.