Par la grâce de D.ieu,
10 Adar Richon 5727,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Moché(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce jeudi(2). En un moment propice, on mentionnera votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que les souhaits de votre cœur soient positivement exaucés, dans tous les domaines que vous évoquez.
Vous envisagez la création d’une association de Tehilim. Je ne comprends pas que vous puissiez avoir un doute, en la matière. Depuis toujours, une association de Tehilim, qu’on lit après la prière, de même que des enseignants de la Michna ont existé, dans tous les endroits où se trouvaient des enfants d’Israël. C’est uniquement à notre époque que le nombre de personnes y participant a été réduit, jusqu’à l’intervention bien connue de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, en la matière(3), il y a quelques dizaines d’années. Cette intervention a également pris la forme d’un appel lancé à chacun afin de renouveler cet usage appartenant à la Tradition d’Israël, c’est bien évident.
Il serait judicieux de faire vérifier vos Tefillin, si cela n’a pas été fait au cours des douze derniers mois. Avec ma bénédiction pour me donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Le Rav M. Grinberg, de Bneï Brak.
(2) Voir le Likouteï Si’hot, tome 37, à la page 211.
(3) Voir le Kovets Mi’htavim se trouvant à la fin du Tehilim Yossef Its’hak, de même que les Iguerot Kodech du Rabbi Rayats, tome 2, dans la lettre n°386 et tome 3, dans la lettre n°784.