Lettre n° 1005
Par la grâce de D.ieu,
16 Iyar 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été désolé d’apprendre, incidemment, que vous n’êtes pas en bonne santé et vous trouvez à l’hôpital. J’attends de vos bonnes nouvelles et je souhaite savoir que vous allez mieux.
Vous avez eu le mérite d’être un élève de la Yechiva Loubavitch, de vous trouver en la présence lumineuse du Rabbi Rachab et de mon beau-père, le Rabbi, pendant de nombreuses années. Pour que votre santé s’améliore, vous devez, à mon humble avis, vous engager immédiatement à enseigner publiquement la ‘Hassidout, durant le Chabbat et au moins une seconde fois, pendant un jour de semaine. Et, peu importe combien de personnes participeront à ce cours ou bien quel est le niveau de leurs connaissances.
Bien plus, nos saints maîtres ont souligné que les âmes des auditeurs perçoivent la ‘Hassidout(1). Et, celle-ci possède également une autre qualité. Elle purifie l’atmosphère, qui, lorsqu’il est pur dans un certain endroit, même de dimension très réduite, rétroagit sur le monde entier.
En s’attachant à l’arbre de vie(2), vous vous révélerez le canal qui renforcera votre vitalité et améliorera votre état de santé, au sens le plus littéral, physiquement.
Je vous adresse ma bénédiction de prompte guérison et j’attends de vos bonnes nouvelles.
Le fascicule de Lag Baomer, qui vient de paraître, vous a été adressé, par envoi séparé, avec la lettre qui l’accompagne(3).
Notes
(1) Même si leur intellect ne la comprend pas.
(2) Le Rabbi et la ‘Hassidout.
(3) La lettre n°996.
16 Iyar 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été désolé d’apprendre, incidemment, que vous n’êtes pas en bonne santé et vous trouvez à l’hôpital. J’attends de vos bonnes nouvelles et je souhaite savoir que vous allez mieux.
Vous avez eu le mérite d’être un élève de la Yechiva Loubavitch, de vous trouver en la présence lumineuse du Rabbi Rachab et de mon beau-père, le Rabbi, pendant de nombreuses années. Pour que votre santé s’améliore, vous devez, à mon humble avis, vous engager immédiatement à enseigner publiquement la ‘Hassidout, durant le Chabbat et au moins une seconde fois, pendant un jour de semaine. Et, peu importe combien de personnes participeront à ce cours ou bien quel est le niveau de leurs connaissances.
Bien plus, nos saints maîtres ont souligné que les âmes des auditeurs perçoivent la ‘Hassidout(1). Et, celle-ci possède également une autre qualité. Elle purifie l’atmosphère, qui, lorsqu’il est pur dans un certain endroit, même de dimension très réduite, rétroagit sur le monde entier.
En s’attachant à l’arbre de vie(2), vous vous révélerez le canal qui renforcera votre vitalité et améliorera votre état de santé, au sens le plus littéral, physiquement.
Je vous adresse ma bénédiction de prompte guérison et j’attends de vos bonnes nouvelles.
Le fascicule de Lag Baomer, qui vient de paraître, vous a été adressé, par envoi séparé, avec la lettre qui l’accompagne(3).
Notes
(1) Même si leur intellect ne la comprend pas.
(2) Le Rabbi et la ‘Hassidout.
(3) La lettre n°996.