Lettre n° 1008

Par la grâce de D.ieu,
16 Iyar 5711,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

J’ai reçu, en son temps, votre seconde lettre, dans laquelle vous me demandez une bénédiction, pour vous même et pour votre épouse.

Me trouvant près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, j’ai mentionné vos noms et, à n’en pas douter, il sollicitera la miséricorde divine pour que vous ayez une prompte guérison et que vous conceviez, l’un et l’autre, une satisfaction juive de vos enfants.

Il serait très bon que vous instauriez la lecture des Psaumes dans votre synagogue, y compris pendant les jours de semaine. Vous en direz au moins quelques uns. Vous transmettrez aux membres de la communauté les mots qu’a prononcé mon beau-père, le Rabbi. Il a, en effet, expliqué que la lecture des Tehilim préserve de nombreuses situations malencontreuses, ce qu’à D.ieu ne plaise et suscite tout le bien, dont chacun a besoin.

Vous trouverez ci-joint la causerie, prononcé à Lag Baomer par mon beau-père, le Rabbi, qui vient de paraître. J’espère que vous trouverez le temps d’en lire au moins une partie devant les membres de votre communauté. A n’en pas douter, cela vous sera profitable à tous.

Avec ma bénédiction,