Lettre n° 1037
Par la grâce de D.ieu,
1er Sivan 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du trente huitième jour de l’Omer. Lorsque je me trouvais, hier(1), près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, j’ai mentionné votre nom pour que vous obteniez la guérison. J’espère que vous me donnerez des bonnes nouvelles, en la matière.
Vous concluez votre lettre en me demandant de vous conduire vers une bonne Techouva, au moins vers la Techouva Inférieure. A une même question, j’ai répondu à un ‘Hassid que nous nous trouvons dans la période du talon et même du "talon de talon" du Machia’h.
Mon beau-père, le Rabbi, a dit et répété, à de nombreuses reprises, qu’il ne restait que très peu de choses à réaliser. Bien plus, on sait comment provoquer la venue du Machia’h. Il faut, pour cela, diffuser les sources de la ‘Hassidout, à l’extérieur. Vous assumerez donc vous-même cette mission, car on doit pouvoir trouver, à Jérusalem(2), des personnes qui se trouvent encore "à l’extérieur".
Vous les réchaufferez donc et vous les illuminerez avec la chaude lumière de la ‘Hassidout. C’est de cette manière que l’on fait disparaître l’obscurité. Si l’on a eu des pensées, des paroles et des actions inadéquates, on peut également les supprimer de manière positive, par exemple en ayant des larmes de joie, comme on l’explique à propos du verset "que tes larmes s’écoulent comme un fleuve". Vous consulterez également le Divreï ‘Haïm, au chapitre 11.
Quant à la compréhension et aux sentiments que l’on n’aurait pas dû avoir, on peut les supprimer par les trois amours, celui de D.ieu, celui de la Torah et celui de son prochain. En étudiant la Torah, en particulier son luminaire, c’est-à-dire la ‘Hassidout, on transforme l’obscurité en lumière.
Il me semble difficile d’intervenir, en me trouvant ici, dans les affaires du Collel(3) pour demander que l’on attribue une livre(4) par mois à votre petit-fils. A la place de cela, je vous adresse un bon pour recevoir un colis.
Je conclus en vous adressant ma bénédiction de prompte rétablissement et pour que vous puissiez me donner de bonnes nouvelles de votre état de santé, de vos préoccupations personnelles et de ce qui se fait chez les ‘Hassidim, en général.
Avec ma bénédiction pour que vous receviez la Torah avec joie et profondeur,
Notes
(1) Veille de Roch ‘Hodech.
(2) Où réside le destinataire de cette lettre.
(3) Le Collel ‘Habad, à Jérusalem.
(4) Israélienne.
1er Sivan 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du trente huitième jour de l’Omer. Lorsque je me trouvais, hier(1), près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, j’ai mentionné votre nom pour que vous obteniez la guérison. J’espère que vous me donnerez des bonnes nouvelles, en la matière.
Vous concluez votre lettre en me demandant de vous conduire vers une bonne Techouva, au moins vers la Techouva Inférieure. A une même question, j’ai répondu à un ‘Hassid que nous nous trouvons dans la période du talon et même du "talon de talon" du Machia’h.
Mon beau-père, le Rabbi, a dit et répété, à de nombreuses reprises, qu’il ne restait que très peu de choses à réaliser. Bien plus, on sait comment provoquer la venue du Machia’h. Il faut, pour cela, diffuser les sources de la ‘Hassidout, à l’extérieur. Vous assumerez donc vous-même cette mission, car on doit pouvoir trouver, à Jérusalem(2), des personnes qui se trouvent encore "à l’extérieur".
Vous les réchaufferez donc et vous les illuminerez avec la chaude lumière de la ‘Hassidout. C’est de cette manière que l’on fait disparaître l’obscurité. Si l’on a eu des pensées, des paroles et des actions inadéquates, on peut également les supprimer de manière positive, par exemple en ayant des larmes de joie, comme on l’explique à propos du verset "que tes larmes s’écoulent comme un fleuve". Vous consulterez également le Divreï ‘Haïm, au chapitre 11.
Quant à la compréhension et aux sentiments que l’on n’aurait pas dû avoir, on peut les supprimer par les trois amours, celui de D.ieu, celui de la Torah et celui de son prochain. En étudiant la Torah, en particulier son luminaire, c’est-à-dire la ‘Hassidout, on transforme l’obscurité en lumière.
Il me semble difficile d’intervenir, en me trouvant ici, dans les affaires du Collel(3) pour demander que l’on attribue une livre(4) par mois à votre petit-fils. A la place de cela, je vous adresse un bon pour recevoir un colis.
Je conclus en vous adressant ma bénédiction de prompte rétablissement et pour que vous puissiez me donner de bonnes nouvelles de votre état de santé, de vos préoccupations personnelles et de ce qui se fait chez les ‘Hassidim, en général.
Avec ma bénédiction pour que vous receviez la Torah avec joie et profondeur,
Notes
(1) Veille de Roch ‘Hodech.
(2) Où réside le destinataire de cette lettre.
(3) Le Collel ‘Habad, à Jérusalem.
(4) Israélienne.