Lettre n° 1041
Par la grâce de D.ieu,
9 Sivan 5711,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Kalman Na’houm(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu de vos nouvelles avec plaisir. J’ai été particulièrement satisfait que vous vous consacriez aux besoins communautaires, dans votre ville. Vous voudrez bien transmettre mon souvenir et ma bénédiction à tous ceux qui vous ont apporté leur collaboration ou qui le feront. D.ieu conférera la réussite à chacun d’entre eux, dans tous leurs besoins et vous pourrez m’annoncer de bonnes nouvelles, en la matière.
Par colis séparé, je vous adresse un recueil des causeries de mon beau-père, le Rabbi. Ainsi, en un moment propice, par exemple pendant le troisième repas du Chabbat ou à l’occasion d’une fête, vous trouverez le moyen de transmettre le contenu des causeries qui y sont imprimées au plus grand nombre. On trouve, dans cet ouvrage, des idées pour chaque catégorie de publics, depuis les plus grands érudits jusqu’aux personnes les plus simples.
Telle est précisément la définition de la vérité(2), en particulier celle de notre Torah, Torah de vérité. La vérité est identique d’un bout à l’autre, comme l’explique brièvement le chapitre 13 du Tanya.
J’aimerais savoir quels cours publics de Torah sont donnés dans votre synagogue. Sans doute avez-vous également adopté la pratique instituée par mon beau-père, le Rabbi, qui consiste à lire chaque jour des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, après la prière.
Ceci s’ajoute aux études auxquelles chacun s’engage, à titre personnel, celle, quotidienne également, du passage du ‘Houmach, avec le commentaire de Rachi, le dimanche du début de la Sidra au Cheni, le lundi jusqu’au Chelichi, et ainsi de suite, celle également du Tanya, selon sa répartition annuelle, comme l’indique le guide d’étude(3).
Je salue toute votre communauté et vous adresse ma bénédiction pour recevoir le bien matériel et spirituel. J’attends de vos bonnes nouvelles et "il n’est de bon que la Torah et les Mitsvot".
Notes
(1) Le Rav K. N. Fisher, de Shebagin.
(2) Elle est invariable, quelle que soit la personne à qui elle s’adresse.
(3) Imprimé dans le Hayom Yom, il fut établi par le précédent Rabbi.
9 Sivan 5711,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Kalman Na’houm(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu de vos nouvelles avec plaisir. J’ai été particulièrement satisfait que vous vous consacriez aux besoins communautaires, dans votre ville. Vous voudrez bien transmettre mon souvenir et ma bénédiction à tous ceux qui vous ont apporté leur collaboration ou qui le feront. D.ieu conférera la réussite à chacun d’entre eux, dans tous leurs besoins et vous pourrez m’annoncer de bonnes nouvelles, en la matière.
Par colis séparé, je vous adresse un recueil des causeries de mon beau-père, le Rabbi. Ainsi, en un moment propice, par exemple pendant le troisième repas du Chabbat ou à l’occasion d’une fête, vous trouverez le moyen de transmettre le contenu des causeries qui y sont imprimées au plus grand nombre. On trouve, dans cet ouvrage, des idées pour chaque catégorie de publics, depuis les plus grands érudits jusqu’aux personnes les plus simples.
Telle est précisément la définition de la vérité(2), en particulier celle de notre Torah, Torah de vérité. La vérité est identique d’un bout à l’autre, comme l’explique brièvement le chapitre 13 du Tanya.
J’aimerais savoir quels cours publics de Torah sont donnés dans votre synagogue. Sans doute avez-vous également adopté la pratique instituée par mon beau-père, le Rabbi, qui consiste à lire chaque jour des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, après la prière.
Ceci s’ajoute aux études auxquelles chacun s’engage, à titre personnel, celle, quotidienne également, du passage du ‘Houmach, avec le commentaire de Rachi, le dimanche du début de la Sidra au Cheni, le lundi jusqu’au Chelichi, et ainsi de suite, celle également du Tanya, selon sa répartition annuelle, comme l’indique le guide d’étude(3).
Je salue toute votre communauté et vous adresse ma bénédiction pour recevoir le bien matériel et spirituel. J’attends de vos bonnes nouvelles et "il n’est de bon que la Torah et les Mitsvot".
Notes
(1) Le Rav K. N. Fisher, de Shebagin.
(2) Elle est invariable, quelle que soit la personne à qui elle s’adresse.
(3) Imprimé dans le Hayom Yom, il fut établi par le précédent Rabbi.