Lettre n° 1066
Par la grâce de D.ieu,
27 Sivan 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’espère que, lorsque vous ne pouvez pas vous rendre à la synagogue, vous maintenez, néanmoins, vous études de la Torah, chez vous. Ainsi, vous pourrez, le plus rapidement possible, retourner à la synagogue et participer aux cours publics.
Vous avez sans doute connaissance de la coutume ‘hassidique, introduite par le Baal Chem Tov, qui consiste à baser son service de D.ieu sur la joie. Cette manière d’agir est beaucoup plus efficace que celle qui est soutenue par le sentiment opposé.
Il est dit que la joie brise toutes les limites. Lorsque celle-ci est conforme à la volonté de D.ieu, conduit à L’aimer, à aimer la Torah et son prochain, elle permet d’obtenir, de la Main de Dieu, pleine et ouverte, tout ce qui est nécessaire pour l’éprouver, sans tenir compte d’aucune autre considération.
J’espère recevoir de vos bonnes nouvelles, apprendre que vous allez mieux, que vous êtes retourné à la synagogue, comme vous en avez toujours eu l’heureuse habitude.
Je conclus en vous adressant ma bénédiction pour que vous ayez de longs jours et de bonnes années, c'est-à-dire, au sens littéral, pour avoir une longue vie, en bonne santé et également pour que ces années soient emplies de tout le bien. Or, "il n’est de bien que la Torah et les Mitsvot".
Avec ma bénédiction,
27 Sivan 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’espère que, lorsque vous ne pouvez pas vous rendre à la synagogue, vous maintenez, néanmoins, vous études de la Torah, chez vous. Ainsi, vous pourrez, le plus rapidement possible, retourner à la synagogue et participer aux cours publics.
Vous avez sans doute connaissance de la coutume ‘hassidique, introduite par le Baal Chem Tov, qui consiste à baser son service de D.ieu sur la joie. Cette manière d’agir est beaucoup plus efficace que celle qui est soutenue par le sentiment opposé.
Il est dit que la joie brise toutes les limites. Lorsque celle-ci est conforme à la volonté de D.ieu, conduit à L’aimer, à aimer la Torah et son prochain, elle permet d’obtenir, de la Main de Dieu, pleine et ouverte, tout ce qui est nécessaire pour l’éprouver, sans tenir compte d’aucune autre considération.
J’espère recevoir de vos bonnes nouvelles, apprendre que vous allez mieux, que vous êtes retourné à la synagogue, comme vous en avez toujours eu l’heureuse habitude.
Je conclus en vous adressant ma bénédiction pour que vous ayez de longs jours et de bonnes années, c'est-à-dire, au sens littéral, pour avoir une longue vie, en bonne santé et également pour que ces années soient emplies de tout le bien. Or, "il n’est de bien que la Torah et les Mitsvot".
Avec ma bénédiction,