Lettre n° 1071
Par la grâce de D.ieu,
27 Sivan 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du lundi de la Parchat Chela’h, par laquelle vous me faites part de l’état de santé de votre épouse. Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai son nom et, à n’en pas douter, il invoquera pour elle la miséricorde divine.
Elle a sans doute reçu des prescriptions, de la part de son médecin, auxquelles elle se conforme. J’aimerais savoir si, en plus de ce que vous écrivez à propos des sels et du magnésium, on vous a dit quoi que ce soit d’un traitement ou d’une intervention.
D.ieu "guérit toute chair et Il accomplit des merveilles", mais, l’on a usage, néanmoins, d’emprunter, dans toute la mesure du possible, fut-elle même la plus légère, les voies de la nature. Mon beau-père, le Rabbi, m’a raconté, une fois, qu’un grand malade était venu consulter l’Admour Hazaken, qui le guérit en lui donnant un peu de Matsa Chemoura et un demi verre d’eau. Il est donc bien nécessaire d’emprunter, au moins quelque peu, les voies de la nature(1).
D.ieu exaucera votre prière et votre requête, de sorte que vous puissiez donner de bonnes nouvelles.
Vous avez sûrement reçu, en son temps, ma précédente lettre. J’aimerais savoir comment se sont installés votre fille et votre gendre, le Rav. Ce dernier réside-t-il encore dans la tente de l’étude(2) ?
Avec ma bénédiction pour que vous puissiez annoncer de bonnes nouvelles,
Notes
(1) L’Admour Hazaken aurait pu le guérir par sa simple bénédiction, sans avoir recours à la Matsa et au verre d’eau.
(2) A-t-il toujours l’étude de la Torah pour seule activité?
27 Sivan 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du lundi de la Parchat Chela’h, par laquelle vous me faites part de l’état de santé de votre épouse. Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai son nom et, à n’en pas douter, il invoquera pour elle la miséricorde divine.
Elle a sans doute reçu des prescriptions, de la part de son médecin, auxquelles elle se conforme. J’aimerais savoir si, en plus de ce que vous écrivez à propos des sels et du magnésium, on vous a dit quoi que ce soit d’un traitement ou d’une intervention.
D.ieu "guérit toute chair et Il accomplit des merveilles", mais, l’on a usage, néanmoins, d’emprunter, dans toute la mesure du possible, fut-elle même la plus légère, les voies de la nature. Mon beau-père, le Rabbi, m’a raconté, une fois, qu’un grand malade était venu consulter l’Admour Hazaken, qui le guérit en lui donnant un peu de Matsa Chemoura et un demi verre d’eau. Il est donc bien nécessaire d’emprunter, au moins quelque peu, les voies de la nature(1).
D.ieu exaucera votre prière et votre requête, de sorte que vous puissiez donner de bonnes nouvelles.
Vous avez sûrement reçu, en son temps, ma précédente lettre. J’aimerais savoir comment se sont installés votre fille et votre gendre, le Rav. Ce dernier réside-t-il encore dans la tente de l’étude(2) ?
Avec ma bénédiction pour que vous puissiez annoncer de bonnes nouvelles,
Notes
(1) L’Admour Hazaken aurait pu le guérir par sa simple bénédiction, sans avoir recours à la Matsa et au verre d’eau.
(2) A-t-il toujours l’étude de la Torah pour seule activité?