Lettre n° 1080

Par la grâce de D.ieu,
5 Tamouz 5711,
Brooklyn,

Je vous bénis et vous salue(1),

J’ai bien reçu votre demande de bénédiction. Je la lirai, lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Il invoquera sûrement la miséricorde divine pour que vous ayez une prompte guérison.

Vous êtes sans doute suivie par un médecin, qui vous indique ce qu’il faut faire et vous vous conformez à ses prescriptions.

De façon générale, les ‘Hassidim, hommes ou femmes, doivent savoir, comme mon beau-père, le Rabbi, l’a, une fois, écrit à quelqu’un, que les ‘Hassidim ne sont pas tous seuls(2). Vous devez donc avoir une forte conviction que votre lien avec les ‘Hassidim et les pratiques ‘hassidiques vous permet d’être attachée aussi à l’arbre de la vie, qui est la source de l’existence.

Vous ne devez donc pas être soucieuse. Soyez certaine que D.ieu vous guide, satisfait tous vos besoins. Lorsque l’on raffermit sa confiance en D.ieu, on peut vérifier, de ses yeux de chair, qu’il en est concrètement ainsi, dans l’existence quotidienne.

J’espère que vous pourrez m’annoncer une bonne nouvelle, me dire que vous allez mieux et je conclus en vous souhaitant une prompte guérison,

Notes

(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°785.