Lettre n° 1097
Par la grâce de D.ieu,
Jour de la libération du 13 Tamouz 5711,
Brooklyn, New York,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, a de bons sentiments,
chérit la Torah et recherche la Tsédaka, le Rav L. Newman,
Je vous salue et vous bénis,
Il est bien clair que je suis très intéressé par la situation de chacun des ‘Hassidim et en particulier de ceux qui ont été très actifs, ces dernières années et ont cherché à s’installer dans un endroit éloigné. Bien évidemment, je voudrais savoir également de quelle manière ceux qui se trouvent là-bas depuis longtemps accueillent ceux qui viennent d’arriver.
En conséquence, j’ai appris avec plaisir, par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, Rav..., que vous l’avez aidé, en lui rendant service. Je voudrais vous demander de continuer à le faire, à l’avenir, dans toute la mesure de vos moyens. En rendant un service à son prochain, on en rend un, encore plus important, matériel et spirituel à la fois, à soi-même.
Mon beau-père, le Rabbi, a souligné que les trois amours, amour de D.ieu, amour de la Torah et amour de son prochain, dépendent l’un de l’autre. Tous les trois doivent s’exprimer par des actions concrètes. On peut ainsi venir en aide aux autres, jusqu'à ce que tous soient unis. Telle est la mission qui est confiée à un Juif.
A l’occasion de la fête de la libération de mon beau-père, le Rabbi, qui fut libéré des prisons soviétiques en 5687, est paru le fascicule du 12-13 Tamouz. J’ai le plaisir de vous l’adresser.
J’espère recevoir de bonnes nouvelles de votre action au profit de la communauté et de chaque individu.
Avec ma bénédiction, matérielle et spirituelle et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Jour de la libération du 13 Tamouz 5711,
Brooklyn, New York,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, a de bons sentiments,
chérit la Torah et recherche la Tsédaka, le Rav L. Newman,
Je vous salue et vous bénis,
Il est bien clair que je suis très intéressé par la situation de chacun des ‘Hassidim et en particulier de ceux qui ont été très actifs, ces dernières années et ont cherché à s’installer dans un endroit éloigné. Bien évidemment, je voudrais savoir également de quelle manière ceux qui se trouvent là-bas depuis longtemps accueillent ceux qui viennent d’arriver.
En conséquence, j’ai appris avec plaisir, par le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, Rav..., que vous l’avez aidé, en lui rendant service. Je voudrais vous demander de continuer à le faire, à l’avenir, dans toute la mesure de vos moyens. En rendant un service à son prochain, on en rend un, encore plus important, matériel et spirituel à la fois, à soi-même.
Mon beau-père, le Rabbi, a souligné que les trois amours, amour de D.ieu, amour de la Torah et amour de son prochain, dépendent l’un de l’autre. Tous les trois doivent s’exprimer par des actions concrètes. On peut ainsi venir en aide aux autres, jusqu'à ce que tous soient unis. Telle est la mission qui est confiée à un Juif.
A l’occasion de la fête de la libération de mon beau-père, le Rabbi, qui fut libéré des prisons soviétiques en 5687, est paru le fascicule du 12-13 Tamouz. J’ai le plaisir de vous l’adresser.
J’espère recevoir de bonnes nouvelles de votre action au profit de la communauté et de chaque individu.
Avec ma bénédiction, matérielle et spirituelle et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,