Lettre n° 1099
Par la grâce de D.ieu,
Jour de la libération,
13 Tamouz 5711,
Brooklyn, New York,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Elyahou Chmouel Hacohen(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec peine le décès de votre épouse.
D.ieu vous consolera, parmi tous les autres endeuillés de Sion et de Jérusalem(2).
On sait qu’il est permis de jeûner, pendant le Chabbat, à la suite d’un mauvais rêve. La raison en est la suivante. Le Chabbat est un temps de plaisir et il est alors impossible de supporter la douleur. Dès lors, l’attribut de rigueur ne peut plus intervenir.
C’est aujourd’hui un jour de joie, celui de la libération et de la délivrance de mon beau-père, le Rabbi, qui écrivit, dans une lettre, que "ce n’est pas seulement moi que le Saint béni soit-Il libéra, le 12 Tamouz, mais aussi tous ceux qui chérissent notre sainte Torah, respectent la Mitsva, ou même ceux pour qui Israël n’est qu’un surnom"(3).
En ce jour, à n’en pas douter, la sévérité, la limite de la compréhension disparaissent. Votre peine se dissipera donc.
Avec mes voeux de consolation,
Notes
(1) Le Rav E. C. Kahanov.
(2) Telle est la formule traditionnelle de consolation de l’endeuillé.
(3) Voir, à ce propos, la lettre n°1075.
Jour de la libération,
13 Tamouz 5711,
Brooklyn, New York,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Elyahou Chmouel Hacohen(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec peine le décès de votre épouse.
D.ieu vous consolera, parmi tous les autres endeuillés de Sion et de Jérusalem(2).
On sait qu’il est permis de jeûner, pendant le Chabbat, à la suite d’un mauvais rêve. La raison en est la suivante. Le Chabbat est un temps de plaisir et il est alors impossible de supporter la douleur. Dès lors, l’attribut de rigueur ne peut plus intervenir.
C’est aujourd’hui un jour de joie, celui de la libération et de la délivrance de mon beau-père, le Rabbi, qui écrivit, dans une lettre, que "ce n’est pas seulement moi que le Saint béni soit-Il libéra, le 12 Tamouz, mais aussi tous ceux qui chérissent notre sainte Torah, respectent la Mitsva, ou même ceux pour qui Israël n’est qu’un surnom"(3).
En ce jour, à n’en pas douter, la sévérité, la limite de la compréhension disparaissent. Votre peine se dissipera donc.
Avec mes voeux de consolation,
Notes
(1) Le Rav E. C. Kahanov.
(2) Telle est la formule traditionnelle de consolation de l’endeuillé.
(3) Voir, à ce propos, la lettre n°1075.