Lettre n° 1119
Par la grâce de D.ieu,
1er Mena’hem Av 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu en son temps votre lettre de Lag Baomer et celles du 5 et du 8 Tamouz. J’ai lu votre demande de bénédiction auprès du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin qu’il invoque la miséricorde divine pour chacun et chacune de ceux que vous mentionnez, afin d’obtenir la satisfaction de tous leurs besoins. Il est clair que le Juste qui quitte ce monde s’y trouve plus que de son vivant. Il suscitera donc la bénédiction et la réussite pour vous et pour les membres de votre famille, matériellement et spirituellement.
Vous me demandez si vous devez révéler à vos amis le décès de leur mère. A mon avis, vous leur expliquerez progressivement que D.ieu l’a conduite dans un endroit où elle ne souffre plus de sa maladie, que cet endroit se trouve dans les cieux, qu’elle continue, de là où elle se trouve, à se préoccuper du bien être des membres de sa famille, qu’elle demande à D.ieu qu’ils réussissent dans leurs études, qu’ils adoptent un bon comportement.
Encore maintenant, cette mère a pitié de ses enfants, souhaite qu’ils se conduisent comme des Juifs conscients. En le faisant, ils lui procurent la plus grande satisfaction et elle est alors capable d’obtenir qu’ils connaissent la réussite. La seule modification est donc l’impossibilité de vérifier tout cela de ses yeux de chair.
Bien évidemment, vous n’emploierez pas les mêmes termes avec les plus âgés et avec les plus jeunes. Le message, en revanche, basé sur ce qui vient d’être dit, peut être, plus ou moins, le même pour tous.
Avec ma bénédiction pour que vous vous organisiez de la manière qui vous convient le mieux, matériellement et spirituellement,
1er Mena’hem Av 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu en son temps votre lettre de Lag Baomer et celles du 5 et du 8 Tamouz. J’ai lu votre demande de bénédiction auprès du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin qu’il invoque la miséricorde divine pour chacun et chacune de ceux que vous mentionnez, afin d’obtenir la satisfaction de tous leurs besoins. Il est clair que le Juste qui quitte ce monde s’y trouve plus que de son vivant. Il suscitera donc la bénédiction et la réussite pour vous et pour les membres de votre famille, matériellement et spirituellement.
Vous me demandez si vous devez révéler à vos amis le décès de leur mère. A mon avis, vous leur expliquerez progressivement que D.ieu l’a conduite dans un endroit où elle ne souffre plus de sa maladie, que cet endroit se trouve dans les cieux, qu’elle continue, de là où elle se trouve, à se préoccuper du bien être des membres de sa famille, qu’elle demande à D.ieu qu’ils réussissent dans leurs études, qu’ils adoptent un bon comportement.
Encore maintenant, cette mère a pitié de ses enfants, souhaite qu’ils se conduisent comme des Juifs conscients. En le faisant, ils lui procurent la plus grande satisfaction et elle est alors capable d’obtenir qu’ils connaissent la réussite. La seule modification est donc l’impossibilité de vérifier tout cela de ses yeux de chair.
Bien évidemment, vous n’emploierez pas les mêmes termes avec les plus âgés et avec les plus jeunes. Le message, en revanche, basé sur ce qui vient d’être dit, peut être, plus ou moins, le même pour tous.
Avec ma bénédiction pour que vous vous organisiez de la manière qui vous convient le mieux, matériellement et spirituellement,