Lettre n° 1218
Par la grâce de D.ieu,
29 Elloul 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du 4 Elloul et j’y ai lu avec satisfaction que vous poursuivez votre action auprès des Juifs pratiquants, en général et des ‘Hassidim ‘Habad, en particulier, pour tout ce qui touche à la Yechiva. Non seulement, vos affaires n’en seront nullement affectées, mais bien plus, vous forgerez ainsi les réceptacles qui vous permettront d’élargir votre prospérité matérielle, que D.ieu vous accordera désormais de Sa main pleine, ouverte, sainte et large.
Vous avez sans doute entendu l’expression que mon beau-père, le Rabbi, répétait sans cesse : "Quiconque apporte son aide pour assurer la bonne éducation des enfants juifs, desquels il est dit : "Vous êtes des fils pour l’Eternel votre D.ieu", recevra de D.ieu, "mesure pour mesure", une satisfaction véritable et juive de ses enfants". Il est clair que ce sera effectivement votre cas. Vous et votre épouse concevrez sûrement beaucoup de satisfaction juive de votre fille.
Le 18 Elloul, anniversaire de la naissance de notre maître, le Baal Chem Tov et de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, alors que je me trouvais près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, j’ai mentionné votre nom et celui des membres de votre famille, pour la satisfaction des besoins de chacun d’entre vous. A n’en pas douter, mon beau-père invoquera la miséricorde divine, afin que vous receviez bénédiction et réussite.
J’ai été satisfait de faire la connaissance de votre fille, qui m’a rendu visite, en chemin vers Londres. Elle m’a fait bonne impression et j’en suis d’autant plus convaincu, comme je vous l’ai écrit, qu’elle vous procurera beaucoup de satisfaction juive.
Quant au soucis que vous cause votre associé non-juif, vous devez, à mon avis, vous demander si vous n’avez pas causé du tort à des Juifs, par inadvertance et sans le vouloir, dans vos affaires ou bien du fait de celles-ci. Si vous réparez cela, vous serez délivré du soucis de ce non-Juif.
A l’occasion de la nouvelle année, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, je vous adresse ma bénédiction, à la fois matérielle et spirituelle, afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne et douce année, de même que tous les membres de votre famille.
Avec ma bénédiction,
N. B. : Je vous joins un message en anglais et une lettre adressée à tous, pour Roch Hachana, qui, à n’en pas douter, vous intéresseront.
29 Elloul 5711,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du 4 Elloul et j’y ai lu avec satisfaction que vous poursuivez votre action auprès des Juifs pratiquants, en général et des ‘Hassidim ‘Habad, en particulier, pour tout ce qui touche à la Yechiva. Non seulement, vos affaires n’en seront nullement affectées, mais bien plus, vous forgerez ainsi les réceptacles qui vous permettront d’élargir votre prospérité matérielle, que D.ieu vous accordera désormais de Sa main pleine, ouverte, sainte et large.
Vous avez sans doute entendu l’expression que mon beau-père, le Rabbi, répétait sans cesse : "Quiconque apporte son aide pour assurer la bonne éducation des enfants juifs, desquels il est dit : "Vous êtes des fils pour l’Eternel votre D.ieu", recevra de D.ieu, "mesure pour mesure", une satisfaction véritable et juive de ses enfants". Il est clair que ce sera effectivement votre cas. Vous et votre épouse concevrez sûrement beaucoup de satisfaction juive de votre fille.
Le 18 Elloul, anniversaire de la naissance de notre maître, le Baal Chem Tov et de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, alors que je me trouvais près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, j’ai mentionné votre nom et celui des membres de votre famille, pour la satisfaction des besoins de chacun d’entre vous. A n’en pas douter, mon beau-père invoquera la miséricorde divine, afin que vous receviez bénédiction et réussite.
J’ai été satisfait de faire la connaissance de votre fille, qui m’a rendu visite, en chemin vers Londres. Elle m’a fait bonne impression et j’en suis d’autant plus convaincu, comme je vous l’ai écrit, qu’elle vous procurera beaucoup de satisfaction juive.
Quant au soucis que vous cause votre associé non-juif, vous devez, à mon avis, vous demander si vous n’avez pas causé du tort à des Juifs, par inadvertance et sans le vouloir, dans vos affaires ou bien du fait de celles-ci. Si vous réparez cela, vous serez délivré du soucis de ce non-Juif.
A l’occasion de la nouvelle année, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, je vous adresse ma bénédiction, à la fois matérielle et spirituelle, afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne et douce année, de même que tous les membres de votre famille.
Avec ma bénédiction,
N. B. : Je vous joins un message en anglais et une lettre adressée à tous, pour Roch Hachana, qui, à n’en pas douter, vous intéresseront.