Lettre n° 1235
Par la grâce de D.ieu,
3 Mar’Hechvan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de mercredi dernier et, selon votre "bonne" habitude, vous la concluez en sollicitant une bénédiction de réussite. Mais, il semble que, dès que vous avez passé la frontière du Canada, des pensées noires vous aient, de nouveau, envahi.
Je vous ai déjà dit plusieurs fois que vous-même et votre épouse devez définitivement vous libérer de cette mélancolie et, s’il n’est pas d’autre moyen d’y parvenir, de la transformer en ardeur à l’étude, conformément à l’explication du Torah Or.
Une telle démarche est positive, puisqu’elle préserve la santé, libère des tracas matériels. Elle est également d’un bon apport spirituel, dans la mesure où elle renforce l’étude de la Torah.
J’attends de bonnes nouvelles de l’état de santé de votre épouse, du fait que, comme vous vous y êtes engagés, au moins par soumission, vous servez D.ieu dans la joie.
Avec ma bénédiction,
3 Mar’Hechvan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de mercredi dernier et, selon votre "bonne" habitude, vous la concluez en sollicitant une bénédiction de réussite. Mais, il semble que, dès que vous avez passé la frontière du Canada, des pensées noires vous aient, de nouveau, envahi.
Je vous ai déjà dit plusieurs fois que vous-même et votre épouse devez définitivement vous libérer de cette mélancolie et, s’il n’est pas d’autre moyen d’y parvenir, de la transformer en ardeur à l’étude, conformément à l’explication du Torah Or.
Une telle démarche est positive, puisqu’elle préserve la santé, libère des tracas matériels. Elle est également d’un bon apport spirituel, dans la mesure où elle renforce l’étude de la Torah.
J’attends de bonnes nouvelles de l’état de santé de votre épouse, du fait que, comme vous vous y êtes engagés, au moins par soumission, vous servez D.ieu dans la joie.
Avec ma bénédiction,