Lettre n° 1276
Par la grâce de D.ieu,
5 Kislev 5712,
Brooklyn,
Je ne suis pas satisfait. Votre lettre démontre que vous ne possédez pas, autant qu’il l’aurait fallu, la confiance en D.ieu que l’on est en droit d’attendre d’une femme juive, en général et d’une femme ‘hassidique, en particulier. En conséquence, votre état de santé et votre foyer s’en ressentent.
Chaque Juif, homme ou femme, doit toujours avoir présent à l’esprit que D.ieu, Qui dirige le grand monde, commande également, sans le moindre doute, le petit monde que constitue la personnalité de chacun d’entre nous. Il a Son mot à dire sur le grand monde et Il l’a également pour le petit monde. Il faut donc s’en remettre à Lui, être certain qu’Il veut le bien.
Et, il ne faut pas empêcher la révélation de ce bien, en manquant de confiance en Lui ou par des situations qui ne sont pas conformes à la Torah. L’une de ces situations est l’harmonie du couple.
Jusque ce que la venue du Machia’h soit effective, il n’est pas un homme qui n’ait pas de défaut. Il faut donc savoir que chacun en a au moins un. Tout comme on ne désire pas mettre en évidence et exagérer son propre défaut, on ne doit pas le faire non plus pour celui de l’autre. Il en est ainsi pour chacun et combien plus est-ce le cas lorsqu’il s’agit de votre propre mari, le père de vos enfants.
Mon propos n’est pas de vous faire de la morale. Je veux simplement vous faire remarquer que votre situation n’est pas aussi critique que vous l’imaginez, pas aussi exceptionnelle que vous le pensez. Chacun d’entre vous doit changer de vision et découvrir les meilleurs moyens de rétablir l’harmonie entre vous. Car, la paix sera le réceptacle dans lequel D.ieu déversera la bénédiction et la réussite, avec une bonne santé, l’opulence matérielle et la satisfaction des enfants.
A mon avis, vous devriez consulter votre médecin, pour qu’il vous indique ce que vous devez manger et boire, de quelle façon conduire votre maison. Vous vous conformerez à ses prescriptions et D.ieu vous viendra en aide, à n’en pas douter, de sorte que chaque chose intervienne en son temps, de la façon la meilleure et la plus fructueuse.
Avec ma bénédiction,
5 Kislev 5712,
Brooklyn,
Je ne suis pas satisfait. Votre lettre démontre que vous ne possédez pas, autant qu’il l’aurait fallu, la confiance en D.ieu que l’on est en droit d’attendre d’une femme juive, en général et d’une femme ‘hassidique, en particulier. En conséquence, votre état de santé et votre foyer s’en ressentent.
Chaque Juif, homme ou femme, doit toujours avoir présent à l’esprit que D.ieu, Qui dirige le grand monde, commande également, sans le moindre doute, le petit monde que constitue la personnalité de chacun d’entre nous. Il a Son mot à dire sur le grand monde et Il l’a également pour le petit monde. Il faut donc s’en remettre à Lui, être certain qu’Il veut le bien.
Et, il ne faut pas empêcher la révélation de ce bien, en manquant de confiance en Lui ou par des situations qui ne sont pas conformes à la Torah. L’une de ces situations est l’harmonie du couple.
Jusque ce que la venue du Machia’h soit effective, il n’est pas un homme qui n’ait pas de défaut. Il faut donc savoir que chacun en a au moins un. Tout comme on ne désire pas mettre en évidence et exagérer son propre défaut, on ne doit pas le faire non plus pour celui de l’autre. Il en est ainsi pour chacun et combien plus est-ce le cas lorsqu’il s’agit de votre propre mari, le père de vos enfants.
Mon propos n’est pas de vous faire de la morale. Je veux simplement vous faire remarquer que votre situation n’est pas aussi critique que vous l’imaginez, pas aussi exceptionnelle que vous le pensez. Chacun d’entre vous doit changer de vision et découvrir les meilleurs moyens de rétablir l’harmonie entre vous. Car, la paix sera le réceptacle dans lequel D.ieu déversera la bénédiction et la réussite, avec une bonne santé, l’opulence matérielle et la satisfaction des enfants.
A mon avis, vous devriez consulter votre médecin, pour qu’il vous indique ce que vous devez manger et boire, de quelle façon conduire votre maison. Vous vous conformerez à ses prescriptions et D.ieu vous viendra en aide, à n’en pas douter, de sorte que chaque chose intervienne en son temps, de la façon la meilleure et la plus fructueuse.
Avec ma bénédiction,