Lettre n° 1301
Par la grâce de D.ieu,
22 Kislev 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu ta lettre du 13 Kislev, par laquelle tu me confirmes avoir reçu la mienne et me dis que tu te sens bien, grâce à D.ieu. Tu te satisfais plus ou moins de ta situation actuelle.
Tu m’écris que vingt six jeunes Juifs se trouvent avec toi, qui, pour l’heure, ne pratiquent pas encore la Torah et les Mitsvot. Tu fais sans doute tout ce qui est en ton pouvoir pour les en rapprocher, pour qu’ils les mettent concrètement en pratique.
Tu ne dois pas t’affecter de tous les arguments qu’ils développeront devant toi. De fait, ceci démontre uniquement à quel point il faut avoir pitié d’eux. A force d’échanger avec eux, il est possible de les convaincre, d’abord quelque peu, puis de plus en plus.
Il faut d’abord leur parler des Tefilin. Tu dois leur expliquer qu’il s’agit d’une Mitsva de D.ieu et que c’est, en outre, le moyen d’avoir une longue vie. Les soldats apprennent comment se préserver du danger. Celui qui ne le fait pas se met en situation difficile et il contrevient aux règlements. De même, chaque soldat juif a ses moyens propres de se protéger. L’un de ceux-ci consiste à mettre les Tefilin et, quand ce n’est pas possible le matin, au moment de la prière, on peut encore le faire, tout au long de la journée, jusqu’au coucher du soleil. J’espère que tu trouveras les mots pour convaincre tes amis juifs.
Nous n’avons pas connaissance des desseins divins. Et, peut-être est-ce dans ce but qu’une certaine personne se trouve dans un certain endroit. Après s’être acquitté de sa mission, on peut ensuite rentrer chez soi, avec l’accord des autorités.
A l’occasion de la fête de ‘Hanouka, je joins une publication du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h, éditée pour cette fête. Je pense que tu pourras l’expliquer à tes amis, en leur donnant des précisions sur ‘Hanouka et sur la leçon que cette fête nous délivre, le fait que nous devons tous, sans aucune exception, étudier la Torah et mettre en pratique les Mitsvot, sans tenir aucun compte des difficultés.
Avec ma bénédiction,
22 Kislev 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu ta lettre du 13 Kislev, par laquelle tu me confirmes avoir reçu la mienne et me dis que tu te sens bien, grâce à D.ieu. Tu te satisfais plus ou moins de ta situation actuelle.
Tu m’écris que vingt six jeunes Juifs se trouvent avec toi, qui, pour l’heure, ne pratiquent pas encore la Torah et les Mitsvot. Tu fais sans doute tout ce qui est en ton pouvoir pour les en rapprocher, pour qu’ils les mettent concrètement en pratique.
Tu ne dois pas t’affecter de tous les arguments qu’ils développeront devant toi. De fait, ceci démontre uniquement à quel point il faut avoir pitié d’eux. A force d’échanger avec eux, il est possible de les convaincre, d’abord quelque peu, puis de plus en plus.
Il faut d’abord leur parler des Tefilin. Tu dois leur expliquer qu’il s’agit d’une Mitsva de D.ieu et que c’est, en outre, le moyen d’avoir une longue vie. Les soldats apprennent comment se préserver du danger. Celui qui ne le fait pas se met en situation difficile et il contrevient aux règlements. De même, chaque soldat juif a ses moyens propres de se protéger. L’un de ceux-ci consiste à mettre les Tefilin et, quand ce n’est pas possible le matin, au moment de la prière, on peut encore le faire, tout au long de la journée, jusqu’au coucher du soleil. J’espère que tu trouveras les mots pour convaincre tes amis juifs.
Nous n’avons pas connaissance des desseins divins. Et, peut-être est-ce dans ce but qu’une certaine personne se trouve dans un certain endroit. Après s’être acquitté de sa mission, on peut ensuite rentrer chez soi, avec l’accord des autorités.
A l’occasion de la fête de ‘Hanouka, je joins une publication du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h, éditée pour cette fête. Je pense que tu pourras l’expliquer à tes amis, en leur donnant des précisions sur ‘Hanouka et sur la leçon que cette fête nous délivre, le fait que nous devons tous, sans aucune exception, étudier la Torah et mettre en pratique les Mitsvot, sans tenir aucun compte des difficultés.
Avec ma bénédiction,