Lettre n° 1328
J’ai bien reçu votre lettre(1).
Il est absolument évident qu’il est bon, juste et judicieux que vous exerciez votre influence sur les classes de la Yechiva. Cette démarche est positive, pour vous-même comme pour la Yechiva. Le moment est enfin venu qu’une fraternité véritable règne entre nous.
On sait que la cause du présent exil est la haine gratuite, c’est-à-dire celle qui n’a pas de fondement, qui heurte la raison. La réparation de cette situation, qui est une nécessité absolue, en cette époque du talon du Machia’h, est donc l’amour gratuit, soit celui qui ne reçoit aucune justification logique, bien plus qui va à l’encontre de celle-ci.
Il serait inutile d’en dire plus, d’autant que cette situation et son caractère primordial ont été décrits par le Tanya, au chapitre 32, le Séfer Hamitsvot(2) du Tséma’h Tsédek, le discours ‘hassidique Hé’haltsou, qui figure dans le Likouteï Torah, celui du Rabbi Rachab et celui de mon beau-père, le Rabbi, imprimé à la fin du Kountrass Hé’haltsou.
Que D.ieu bénisse Son peuple par la paix, réceptacle qui contient la bénédiction, en l’occurrence celle du Saint béni soit-Il, qui n’a pas de limite.
Tout cela est particulièrement nécessaire pour vous, puisque D.ieu vous a donné le mérite de vous occuper du Maamad(3), dont la finalité profonde est de lier tous les ‘Hassidim ensemble, de les conduire vers une unité véritable.
Et, lorsque l’on veut convaincre l’autre, au moins partiellement, on doit soi-même posséder très fortement ce que l’on attend de lui.
Avec ma bénédiction de réussite et pour que vous me donniez de bonnes nouvelles, à propos de tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Cette lettre fut écrite comme un ajout personnalisé à la lettre n°1325.
(2) Le Dére’h Mitsvote’ha.
(3) Somme que les ‘Hassidim donnent, chaque mois, au Rabbi, pour le financement des actions qui sont laissées à sa propre initiative. Le Maamad, instauré à l’époque de l’Admour Hazaken, est à la base de l’attachement d’un ‘Hassid à son Rabbi. Son montant ne saurait être diminué.
Il est absolument évident qu’il est bon, juste et judicieux que vous exerciez votre influence sur les classes de la Yechiva. Cette démarche est positive, pour vous-même comme pour la Yechiva. Le moment est enfin venu qu’une fraternité véritable règne entre nous.
On sait que la cause du présent exil est la haine gratuite, c’est-à-dire celle qui n’a pas de fondement, qui heurte la raison. La réparation de cette situation, qui est une nécessité absolue, en cette époque du talon du Machia’h, est donc l’amour gratuit, soit celui qui ne reçoit aucune justification logique, bien plus qui va à l’encontre de celle-ci.
Il serait inutile d’en dire plus, d’autant que cette situation et son caractère primordial ont été décrits par le Tanya, au chapitre 32, le Séfer Hamitsvot(2) du Tséma’h Tsédek, le discours ‘hassidique Hé’haltsou, qui figure dans le Likouteï Torah, celui du Rabbi Rachab et celui de mon beau-père, le Rabbi, imprimé à la fin du Kountrass Hé’haltsou.
Que D.ieu bénisse Son peuple par la paix, réceptacle qui contient la bénédiction, en l’occurrence celle du Saint béni soit-Il, qui n’a pas de limite.
Tout cela est particulièrement nécessaire pour vous, puisque D.ieu vous a donné le mérite de vous occuper du Maamad(3), dont la finalité profonde est de lier tous les ‘Hassidim ensemble, de les conduire vers une unité véritable.
Et, lorsque l’on veut convaincre l’autre, au moins partiellement, on doit soi-même posséder très fortement ce que l’on attend de lui.
Avec ma bénédiction de réussite et pour que vous me donniez de bonnes nouvelles, à propos de tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Cette lettre fut écrite comme un ajout personnalisé à la lettre n°1325.
(2) Le Dére’h Mitsvote’ha.
(3) Somme que les ‘Hassidim donnent, chaque mois, au Rabbi, pour le financement des actions qui sont laissées à sa propre initiative. Le Maamad, instauré à l’époque de l’Admour Hazaken, est à la base de l’attachement d’un ‘Hassid à son Rabbi. Son montant ne saurait être diminué.