Lettre n° 1356
Par la grâce de D.ieu,
18 Tévet 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A la suite de notre conversation téléphonique, j’ai eu l’impression que vous n’avez pas saisi l’importance de préserver votre santé, en général et de manger des gâteaux avant la prière(1), en particulier. Je reproduis donc ici un mot du Baal Chem Tov, imprimé dans Kéter Chem Tov.
Du reste, vous savez sans doute que mon beau-père, le Rabbi, a rappelé, lors des dernières réunions ‘hassidiques, la nécessité pour un ‘Hassid d’étudier le Kéter Chem Tov et le Or Torah du Maguid de Mézéritch.
Or, le Kéter Chem Tov, tome 1, page 17 de l’édition qui est en ma possession, dit : "Lorsque le corps est malade, l’âme est également affaiblie et l’on ne peut prier correctement, même si l’on n’a pas commis de fautes. Un homme doit donc préserver scrupuleusement la santé de son corps".
Je vous adresse ma bénédiction pour que vous soyez en bonne santé et puissiez m’annoncer de bonnes nouvelles. Vous vous souvenez sans doute de ce dont nous avons parlé. Vous devez donc vous adresser aux Sefardim de votre ville pour qu’ils apportent leur aide à notre travail au Maroc(2).
Notes
(1) Le destinataire de cette lettre était malade.
(2) Voir les lettres n°1250, 1251, 1253, 1270, 1271, 1272, 1348.
18 Tévet 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A la suite de notre conversation téléphonique, j’ai eu l’impression que vous n’avez pas saisi l’importance de préserver votre santé, en général et de manger des gâteaux avant la prière(1), en particulier. Je reproduis donc ici un mot du Baal Chem Tov, imprimé dans Kéter Chem Tov.
Du reste, vous savez sans doute que mon beau-père, le Rabbi, a rappelé, lors des dernières réunions ‘hassidiques, la nécessité pour un ‘Hassid d’étudier le Kéter Chem Tov et le Or Torah du Maguid de Mézéritch.
Or, le Kéter Chem Tov, tome 1, page 17 de l’édition qui est en ma possession, dit : "Lorsque le corps est malade, l’âme est également affaiblie et l’on ne peut prier correctement, même si l’on n’a pas commis de fautes. Un homme doit donc préserver scrupuleusement la santé de son corps".
Je vous adresse ma bénédiction pour que vous soyez en bonne santé et puissiez m’annoncer de bonnes nouvelles. Vous vous souvenez sans doute de ce dont nous avons parlé. Vous devez donc vous adresser aux Sefardim de votre ville pour qu’ils apportent leur aide à notre travail au Maroc(2).
Notes
(1) Le destinataire de cette lettre était malade.
(2) Voir les lettres n°1250, 1251, 1253, 1270, 1271, 1272, 1348.