Lettre n° 1413
Par la grâce de D.ieu,
15 Chevat 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre du 8 Chevat et vos noms ont été mentionnés près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Il invoquera sûrement la miséricorde divine pour la satisfaction des besoins de tous ceux que vous citez dans votre lettre.
J’espère qu’à la réception de cette lettre, vous serez guéri et vous me le ferez savoir. Vous me donnerez également des nouvelles des membres de votre famille.
Je suis un peu surpris que vous ne soyez venu ici ni le 19 Kislev, ni le jour de la Hilloula(1), pour vous rendre près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Même s’il est vrai que vous avez une bonne excuse pour cela, il en découle uniquement que vous ne méritez pas de punition, ce qu’à D.ieu ne plaise, du fait de cette absence. Il est dit, néanmoins, que "celui qui se trouve dans un cas de force majeure est dispensé d’agir, mais, pour autant, ne peut être considéré comme s’il l’avait fait"(2). Il est, sans doute, inutile d’en dire plus.
Vous vous servirez de votre influence sur votre cousin pour le renforcer et l’encourager à suivre la voie de la Torah et des Mitsvot. De temps à autre, vous lui rappellerez la promesse qu’il m’a faite, celle de revenir à la Yechiva Loubavitch. Il faut espérer qu’au final, il acceptera cette proposition.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Du précédent Rabbi, le 10 Chevat.
(2) Le fait de ne pas venir chez le Rabbi n’était pas une faute. Néanmoins, le manque qui en découle subsiste.
15 Chevat 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre du 8 Chevat et vos noms ont été mentionnés près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Il invoquera sûrement la miséricorde divine pour la satisfaction des besoins de tous ceux que vous citez dans votre lettre.
J’espère qu’à la réception de cette lettre, vous serez guéri et vous me le ferez savoir. Vous me donnerez également des nouvelles des membres de votre famille.
Je suis un peu surpris que vous ne soyez venu ici ni le 19 Kislev, ni le jour de la Hilloula(1), pour vous rendre près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Même s’il est vrai que vous avez une bonne excuse pour cela, il en découle uniquement que vous ne méritez pas de punition, ce qu’à D.ieu ne plaise, du fait de cette absence. Il est dit, néanmoins, que "celui qui se trouve dans un cas de force majeure est dispensé d’agir, mais, pour autant, ne peut être considéré comme s’il l’avait fait"(2). Il est, sans doute, inutile d’en dire plus.
Vous vous servirez de votre influence sur votre cousin pour le renforcer et l’encourager à suivre la voie de la Torah et des Mitsvot. De temps à autre, vous lui rappellerez la promesse qu’il m’a faite, celle de revenir à la Yechiva Loubavitch. Il faut espérer qu’au final, il acceptera cette proposition.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Du précédent Rabbi, le 10 Chevat.
(2) Le fait de ne pas venir chez le Rabbi n’était pas une faute. Néanmoins, le manque qui en découle subsiste.