Lettre n° 1426
Par la grâce de D.ieu,
18 Chevat 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction, par l’intermédiaire du distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires avec empressement, le Rav Moché Hacohen Shayevits(1). Il m’écrit que vous, madame ..., avez subi une intervention chirurgicale et que votre mari, monsieur ... n’est pas non plus en parfaite santé.
Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai vos deux noms pour que vous obteniez la guérison et une meilleure santé. J’espère que vous pourrez m’annoncer une bonne nouvelle et me dire que, l’un et l’autre, vous vous sentez mieux.
Pour pouvoir contenir les bénédictions de D.ieu, il faut posséder de larges réceptacles, qui sont forgés grâce à la Torah et aux Mitsvot.
Voici mon avis. Vous devriez l’un et l’autre prendre en charge les frais d’un élève et d’une élève fréquentant une institution qui porte le nom de mon beau-père, le Rabbi, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être rebâtie et restaurée, par notre juste Machia’h.
Vous, madame ..., vous donnerez, avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat, de la Tsédaka pour le fonds de Rabbi Meïr Baal Haness(2). Vous, monsieur ..., vous réciterez, chaque matin, après la prière, quelques Psaumes, au moins selon leur répartition mensuelle.
Il serait également très bon de vérifier les Mezouzot de votre maison, pour s’assurer qu’elles soient cachères, conformément à la Hala’ha.
Le Rav M. Shayevits Hacohen me parle également, dans son courrier, de vos fils, messieurs ... et ... Quand je serai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai également leur nom, pour qu’ils connaissent la réussite dans leurs affaires, qu’ils aient une existence juive et heureuse, physiquement et moralement. Car, c’est bien là la réussite qu’il convient de souhaiter.
Je suis certain que vous, les parents, faites usage de votre influence, de la manière qui convient, pour expliquer à vos enfants qu’un tel comportement introduit la clarté et l’enthousiasme dans la vie juive.
J’espère que vous m’écrirez pour m’annoncer que vous allez mieux, l’un et l’autre. Je vous remercie par avance pour cette bonne nouvelle.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir la lettre suivante.
(2) Le Collel ‘Habad en Terre Sainte.
18 Chevat 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre demande de bénédiction, par l’intermédiaire du distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires avec empressement, le Rav Moché Hacohen Shayevits(1). Il m’écrit que vous, madame ..., avez subi une intervention chirurgicale et que votre mari, monsieur ... n’est pas non plus en parfaite santé.
Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai vos deux noms pour que vous obteniez la guérison et une meilleure santé. J’espère que vous pourrez m’annoncer une bonne nouvelle et me dire que, l’un et l’autre, vous vous sentez mieux.
Pour pouvoir contenir les bénédictions de D.ieu, il faut posséder de larges réceptacles, qui sont forgés grâce à la Torah et aux Mitsvot.
Voici mon avis. Vous devriez l’un et l’autre prendre en charge les frais d’un élève et d’une élève fréquentant une institution qui porte le nom de mon beau-père, le Rabbi, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être rebâtie et restaurée, par notre juste Machia’h.
Vous, madame ..., vous donnerez, avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat, de la Tsédaka pour le fonds de Rabbi Meïr Baal Haness(2). Vous, monsieur ..., vous réciterez, chaque matin, après la prière, quelques Psaumes, au moins selon leur répartition mensuelle.
Il serait également très bon de vérifier les Mezouzot de votre maison, pour s’assurer qu’elles soient cachères, conformément à la Hala’ha.
Le Rav M. Shayevits Hacohen me parle également, dans son courrier, de vos fils, messieurs ... et ... Quand je serai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai également leur nom, pour qu’ils connaissent la réussite dans leurs affaires, qu’ils aient une existence juive et heureuse, physiquement et moralement. Car, c’est bien là la réussite qu’il convient de souhaiter.
Je suis certain que vous, les parents, faites usage de votre influence, de la manière qui convient, pour expliquer à vos enfants qu’un tel comportement introduit la clarté et l’enthousiasme dans la vie juive.
J’espère que vous m’écrirez pour m’annoncer que vous allez mieux, l’un et l’autre. Je vous remercie par avance pour cette bonne nouvelle.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir la lettre suivante.
(2) Le Collel ‘Habad en Terre Sainte.