Lettre n° 1427

Par la grâce de D.ieu,
18 Chevat 5712,
Brooklyn,

Au distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu et se
consacre fidèlement aux besoins communautaires,
le Rav Moché Hacohen(1),

Je vous salue et vous bénis,

J’ai bien reçu votre lettre, avec la demande de bénédiction pour monsieur ..., dont vous ne citez pas le nom de famille. Je vous joins ma réponse(2). S’il est nécessaire d’y apporter une explication complémentaire, je m’en remets à vous pour le faire. Vous saurez sûrement trouver les mots qui conviendront à madame ... et à son mari, monsieur ..., auxquels j’ai écrit.

Il serait bon que vous puissiez également contacter leurs fils. Ils demandent, en effet, une bénédiction pour que ceux-ci connaissent la réussite commerciale. Il faut donc leur expliquer, dans des termes qu’ils comprendront, l’acte "commercial" que constitue la descente de l’âme dans le corps, exposée dans le Torah Or, au début de la Parchat Vayéchev et dans le discours ‘hassidique intitulé "elle comprend que son commerce est rentable", du 10 Chevat 5709(3), imprimé dans le fascicule n°62.

Vous ne me parlez pas de votre état de santé et de celui de votre épouse. J’en déduis que vous allez bien.

Je conclus en bénissant et en saluant tous les vôtres,

Notes

(1) Le Rav M. Shayevits. Voir, à son propos, la lettre n°1239.
(2) Il s’agit de la lettre précédente.
(3) 1949, du précédent Rabbi.