Lettre n° 1428
Par la grâce de D.ieu,
18 Chevat 5712,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre fidèlement aux besoins communautaires,
le Rav Yossef(1),
Je vous salue et vous bénis,
Depuis quelques temps, je n’ai pas eu de vos nouvelles et je dois donc m’en remettre à la présomption(2). En effet, lorsque l’on ne reçoit pas de lettres, cela signifie que tout va bien. Il me semble même qu’un dicton populaire, en anglais, dit que "l’absence de nouvelles est une bonne nouvelle".
J’ai reçu une lettre signée par ..., mais il m’a semblé que vous l’aviez écrite. Je vous joins donc une copie de la réponse à la demande de bénédiction et à la lettre adressées au Rav M. Hacohen(3).
Je ne sais pas lequel de vous(4) est, en l’occurrence, l’intervenant principal et je me suis rappelé, à ce propos, de ce que dit mon beau-père, le Rabbi, à la fin du chapitre 12 du Kountrass Limoud Ha’hassidout, commentant la Michna "deux personnes se saisissent d’un vêtement, l’un et l’autre prétendant l’avoir trouvé"(5). Vous consulterez l’explication donnée à ce propos. En tout état de cause, la conclusion est la suivante, chacun de vous sera récompensé.
Puisse D.ieu faire que l’on ait recours à moi pour de bonnes choses et que les Juifs soient en bonne santé, physiquement et moralement.
Avec ma bénédiction de réussite dans votre mission sacrée et de bonne santé, pour vous et pour votre épouse,
Notes
(1) Le Rav Y. Flyer. Voir, à son propos, les lettres n°816 et 1488.
(2) Présumer que tout va bien.
(3) Shayevits. Voir les deux lettres précédentes.
(4) Du Rav Flyer ou du Rav Shayevits, dans l’intervention auprès de cette famille.
(5) Et vouloir en conserver la totalité. De même, le Rav Flyer et le Rav Shayevits peuvent, l’un et l’autre, revendiquer l’intégralité de l’action menée auprès de cette famille.
18 Chevat 5712,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre fidèlement aux besoins communautaires,
le Rav Yossef(1),
Je vous salue et vous bénis,
Depuis quelques temps, je n’ai pas eu de vos nouvelles et je dois donc m’en remettre à la présomption(2). En effet, lorsque l’on ne reçoit pas de lettres, cela signifie que tout va bien. Il me semble même qu’un dicton populaire, en anglais, dit que "l’absence de nouvelles est une bonne nouvelle".
J’ai reçu une lettre signée par ..., mais il m’a semblé que vous l’aviez écrite. Je vous joins donc une copie de la réponse à la demande de bénédiction et à la lettre adressées au Rav M. Hacohen(3).
Je ne sais pas lequel de vous(4) est, en l’occurrence, l’intervenant principal et je me suis rappelé, à ce propos, de ce que dit mon beau-père, le Rabbi, à la fin du chapitre 12 du Kountrass Limoud Ha’hassidout, commentant la Michna "deux personnes se saisissent d’un vêtement, l’un et l’autre prétendant l’avoir trouvé"(5). Vous consulterez l’explication donnée à ce propos. En tout état de cause, la conclusion est la suivante, chacun de vous sera récompensé.
Puisse D.ieu faire que l’on ait recours à moi pour de bonnes choses et que les Juifs soient en bonne santé, physiquement et moralement.
Avec ma bénédiction de réussite dans votre mission sacrée et de bonne santé, pour vous et pour votre épouse,
Notes
(1) Le Rav Y. Flyer. Voir, à son propos, les lettres n°816 et 1488.
(2) Présumer que tout va bien.
(3) Shayevits. Voir les deux lettres précédentes.
(4) Du Rav Flyer ou du Rav Shayevits, dans l’intervention auprès de cette famille.
(5) Et vouloir en conserver la totalité. De même, le Rav Flyer et le Rav Shayevits peuvent, l’un et l’autre, revendiquer l’intégralité de l’action menée auprès de cette famille.