Lettre n° 1429
Par la grâce de D.ieu,
18 Chevat 5712,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 2/11. Vous avez sans doute communiqué ce que vous m’avez écrit à propos de votre fils également au docteur Wilder.
Me trouvant près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, j’ai mentionné tous vos noms et je voudrais répéter de nouveau ce que j’ai déjà dit plusieurs fois. Il est certain que la bénédiction du Juste, fondement du monde, se réalisera. C’est uniquement une question de temps.
Tout cela est une évidence absolue, qu’il n’est nul besoin d’exposer longuement, aussi difficile qu’il puisse être d’attendre le prochain moment de bonheur. Combien plus en est-il ainsi pour un père et une mère ne possédant qu’un fils unique. Il faut, néanmoins, renforcer sa confiance en D.ieu, Qui peut tout faire, "guérit toute chair et accomplit des merveilles".
A n’en pas douter, D.ieu enverra la guérison au moment qui convient. Alors, la souffrance ne sera qu’un souvenir du passé et vous concevrez beaucoup de satisfaction de votre fils.
Vous me dites que vous avez cessé de lui donner les pilules prescrites par le docteur Wilder. Vous auriez dû, au préalable, consulter ce médecin et lui demander ce qu’il en pense.
Vous me demandez si vous devez vous adresser à un autre médecin. Je ne veux pas vous empêcher de le consulter. Néanmoins, mon beau-père, le Rabbi, vous a conseillé de vous en remettre au docteur Wilder. Vous pouvez donc lui faire confiance. Néanmoins, vous devez l’informer, afin qu’il connaisse, en permanence, l’état de votre fils.
Je conclus ma lettre en émettant le voeu sincère que la bénédiction de mon beau-père, le Rabbi, se réalise rapidement. Vous et votre mari, en bonne santé, me transmettrez cette bonne nouvelle.
Avec ma bénédiction,
N. B. : Dans votre lettre, vous ne parlez pas de vous-même. J’espère donc que vous allez bien, de même que votre mari.
18 Chevat 5712,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 2/11. Vous avez sans doute communiqué ce que vous m’avez écrit à propos de votre fils également au docteur Wilder.
Me trouvant près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, j’ai mentionné tous vos noms et je voudrais répéter de nouveau ce que j’ai déjà dit plusieurs fois. Il est certain que la bénédiction du Juste, fondement du monde, se réalisera. C’est uniquement une question de temps.
Tout cela est une évidence absolue, qu’il n’est nul besoin d’exposer longuement, aussi difficile qu’il puisse être d’attendre le prochain moment de bonheur. Combien plus en est-il ainsi pour un père et une mère ne possédant qu’un fils unique. Il faut, néanmoins, renforcer sa confiance en D.ieu, Qui peut tout faire, "guérit toute chair et accomplit des merveilles".
A n’en pas douter, D.ieu enverra la guérison au moment qui convient. Alors, la souffrance ne sera qu’un souvenir du passé et vous concevrez beaucoup de satisfaction de votre fils.
Vous me dites que vous avez cessé de lui donner les pilules prescrites par le docteur Wilder. Vous auriez dû, au préalable, consulter ce médecin et lui demander ce qu’il en pense.
Vous me demandez si vous devez vous adresser à un autre médecin. Je ne veux pas vous empêcher de le consulter. Néanmoins, mon beau-père, le Rabbi, vous a conseillé de vous en remettre au docteur Wilder. Vous pouvez donc lui faire confiance. Néanmoins, vous devez l’informer, afin qu’il connaisse, en permanence, l’état de votre fils.
Je conclus ma lettre en émettant le voeu sincère que la bénédiction de mon beau-père, le Rabbi, se réalise rapidement. Vous et votre mari, en bonne santé, me transmettrez cette bonne nouvelle.
Avec ma bénédiction,
N. B. : Dans votre lettre, vous ne parlez pas de vous-même. J’espère donc que vous allez bien, de même que votre mari.