Lettre n° 1482
Par la grâce de D.ieu,
3 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me parlez de votre service militaire. Vous me dites que vous venez d’être promu officier et aumônier d’une garnison comprenant plusieurs bataillons.
Vous faites sans doute usage de votre influence pour y améliorer la situation morale, par tous les moyens. J’ai longuement expliqué ici, au cours d’une réunion ‘hassidique que, si chacun ne pouvait agir que par ses forces propres, il devrait les évaluer, en mesurer l’intensité. Lorsqu’il s’agit, en revanche, d’assumer une mission liée à la Torah et aux Mitsvot, on intervient en tant qu’émissaire du Saint béni soit-Il. Dès lors, on ne dispose pas uniquement de sa propre force mais aussi de la puissance de Celui Qui créa le monde par Sa Parole et Qui renouvelle la création à chaque instant.
Il en découle deux points:
A) Vous disposez de toutes les forces nécessaires.
B) Au final, le résultat escompté sera bien obtenu. Car, qui pourrait dicter Sa conduite à D.ieu? Et, vous agissez en tant que Son émissaire!
Vous m’écrivez, à la fin de votre lettre, que l’on vous a proposé d’épouser mademoiselle Cohen. Vous l’avez déjà rencontrée et cette proposition vous convient. Vous avez donc décidé de vous fiancer. Puisse D.ieu faire que ceci soit en un moment bon et fructueux, avec un bon Mazal, matériellement et spirituellement.
Votre fiancée est une Cohen et vous devez donc fixer une étude supplémentaire de la Torah. Avant le mariage, vous acquerrez une bonne connaissance d’un traité talmudique et, si possible, des lois afférentes au mariage, dans l’abrégé du Choul’han Arou’h.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov,
N. B. : Vous m’écrivez également que vous vous marierez vraisemblablement dans un an, à l’issue de votre service militaire et à la fin des études de votre fiancée au Beth Yaakov. Ce retard ne me plaît pas. Si cela ne pose pas de problème, vous devriez envisager votre mariage en Kislev prochain, mois de la délivrance.
3 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me parlez de votre service militaire. Vous me dites que vous venez d’être promu officier et aumônier d’une garnison comprenant plusieurs bataillons.
Vous faites sans doute usage de votre influence pour y améliorer la situation morale, par tous les moyens. J’ai longuement expliqué ici, au cours d’une réunion ‘hassidique que, si chacun ne pouvait agir que par ses forces propres, il devrait les évaluer, en mesurer l’intensité. Lorsqu’il s’agit, en revanche, d’assumer une mission liée à la Torah et aux Mitsvot, on intervient en tant qu’émissaire du Saint béni soit-Il. Dès lors, on ne dispose pas uniquement de sa propre force mais aussi de la puissance de Celui Qui créa le monde par Sa Parole et Qui renouvelle la création à chaque instant.
Il en découle deux points:
A) Vous disposez de toutes les forces nécessaires.
B) Au final, le résultat escompté sera bien obtenu. Car, qui pourrait dicter Sa conduite à D.ieu? Et, vous agissez en tant que Son émissaire!
Vous m’écrivez, à la fin de votre lettre, que l’on vous a proposé d’épouser mademoiselle Cohen. Vous l’avez déjà rencontrée et cette proposition vous convient. Vous avez donc décidé de vous fiancer. Puisse D.ieu faire que ceci soit en un moment bon et fructueux, avec un bon Mazal, matériellement et spirituellement.
Votre fiancée est une Cohen et vous devez donc fixer une étude supplémentaire de la Torah. Avant le mariage, vous acquerrez une bonne connaissance d’un traité talmudique et, si possible, des lois afférentes au mariage, dans l’abrégé du Choul’han Arou’h.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov,
N. B. : Vous m’écrivez également que vous vous marierez vraisemblablement dans un an, à l’issue de votre service militaire et à la fin des études de votre fiancée au Beth Yaakov. Ce retard ne me plaît pas. Si cela ne pose pas de problème, vous devriez envisager votre mariage en Kislev prochain, mois de la délivrance.